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Dyhortfight

9 juin 2005

Dyhortfight (chapitre 1)

Date de sortie : 2001

Dans ce chapitre vous incarnez un jeune homme, Bradge, qui a pour mission de tuer un dragon, inconnu de la plupart des personnes, et en théorie intouchable. Le but de cette mission est inconnu non seulement pour le joueur, mais aussi pour Bradge lui même, ce dernier étant un simple exécutant.

La personnalité de Bradge est assez déroutante, puisqu'il est loin de se comporter en héros. Il est un peu égoïste par nature, sur de lui et parfois arogant. Il n'hésite pas non plus à changer de camp quand les choses tournent mal, sa survie étant sa seule préoccupation. Bradge est un des personnages récurrents de Dyhortfight, il revient dans tous les chapitres, et c'est aussi l'un de mes persos préférés.

Le premier chapitre est une sorte "d'entrainement" qui m'a permis entre autre de comprendre les bases de RPG maker. Je me suis inspiré de Chrono Trigger pour le principe des voyages dans le temps, et de FF6 pour la gestion des personnages. Autrement dit, l'histoire n'est pas centralisée sur un seul perso, mais sur une multitude qui sont plus ou moins liés entre eux, et plus ou moins dans le même camp.
Le jeu est sorti en 2001, ceci explique les graphismes et la technique plutôt faiblarde par rapport aux jeux actuels. Cependant à l'époque, le cms et le cbs étaient plutôt bien et assez innovant pour un jeu rpg maker.

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9 juin 2005

Dyhortfight

Le Dyhortfight est le nom du jour où l'humanité devra rendre des comptes à la planète et aux autres espèces vivantes. Le principe a été en partie inspiré par le célèbre Ragnarock de la mythologie nordique, qui représente le jour durant lequel les dieux et les humains se feront tués par les démons.

11 mars 2005

Les RPG

    Le RPG est pour moi un genre de jeu qui propulse le jeu vidéo au rang art. Je suis d'ailleurs intimement convaincu que le jeu vidéo, encore incompris maintenant (ils pousseraient carrément aux meutres d'après certains...) sera un jour reconnu comme le 10ème art. N'oublions pas que la bande dessiné a subi quelques dizaines d'années auparavant le même "acharnement". Que ce soit par les médias ou la plupart des gens, elle n'était considérée que comme inutile, voir dangereuse pour les enfants et adolescents influençables... un peu comme les jeux vidéo maintenant. Ironie du sort, ce sont (entre autres) ces mêmes enfants et adolescents qui lisaient tout de même des bandes dessinés qui maintenant n'ont aucune considération pour les jeux vidéo (exemple : mes parents). Allons nous, nous aussi, reproduire le même schéma avec nos enfants quand ceux ci découvriront une nouvelle occupation, un nouveau moyen de s'évader temporairement de la réalité ? Tout porterait à croire que oui.
    Enfin bref, la marche des jeux vidéo suit précisemment le chemin de la bande dessiné, et franchi petit à petit les étapes qui sont :

  •      Arrêt de la diabolisation  (les médias arrêtent de déblatérer leurs conneries -> il a tué parcequ'il a joué à GTA)
  •      Acceptation (le jeu vidéo considéré comme une occupation comme une autre)
  •      Reconnaissance (le jeu vidéo est enfin vu sans à priori, et est enfin évalué à sa juste valeur)
    Nous n'avons pas encore passé la première étape... Enfin, ça pourrait être pire, nous pourrions vivre au Etats Unis, où porter un flingue est considéré comme moins dangereux que jouer à super mario bros ou sonic (oui j'exagère un peu, mais seulement un peu).

    Quoiqu'il en soit, pour déclamer que quelque chose est de l'art, il faut des arguments. Tout d'abord, la notion d'art est bien sur très subjective. Pour ma part, je dirais qu'un domaine est un art s'il ne peut pas être maitrisé que par l'apprentissage, qu'il nécessite quelque chose d'innée, un don en quelque sorte. Par exemple vous aurez beau vous exercer toute votre vie, vous n'égalerez jamais Léonard de Vinci ou Mozart, à moins d'avoir un don spécial. De même, un artiste peut, s'il n'est pas inspiré, malgré tout son savoir faire, complètement louper son oeuvre. Ce qui en découle, c'est la nécessité de ressentir, d'être dans un état d'esprit, presque de transe, pour réussir dans un art. Le savoir faire et l'expérience ne suffisent pas, ça va bien plus loin.
                                                                                                                                    

 

11 mars 2005

RPG maker ??

      

    RPG maker est un logiciel destiné, comme son nom l'indique, à la création de rpg (Role Playing Game).

 
La programmation y est sommaire et a été ultra simplifiée, dans l'unique but de privilégier le rendement à la qualité graphique, qui passe, dans le cas d'un rpg, au second plan (n'importe quel fan de rpg à passé d'inombrable heures devant FF6, suikoden ou encore chrono trigger, même après avoir découvert FFX et autres rpg sublime graphiquement).
    Le but de RPG maker n'est donc pas d'apprendre à programmer, mais à gérer le développement d'un jeu, en construisant un scénario, des personnages, des lieux, des scènes... Bref, en construisant un univers.
Bien que le logiciel limite quelque peu la qualité technique du jeu, vous pourrez tout de même programmer des systèmes de combat, des menus etc... RPG maker est donc un logiciel amplement suffisant pour programmer le rpg de vos rêves, de la qualité graphique de FF6, voir plus. De plus le jeu obtenu est très stable. J'entends pas là que si un bogue est présent dans le jeu, il viendra du programmeur, pas du logiciel en lui même.
    Certains diront qu'un jeu RPG maker n'est pas un jeu, que les "vrai" jeu sont fait en équipe en C++. On est en droit de s'interroger sur ce point... Modéliser la botte gauche du héros en 3D dans une équipe de 50 serait plus "faire un rpg" que créer le scénario, l'univers, les personnages, les systèmes etc... ? Pas pour moi en tout cas. On en vient au point fort de RPG maker : La possibilité de finir un jeu seul, assez rapidemment (pas en deux semaines non plus).
    Il est également important de savoir que les versions de RPG maker qui traine sur le net ne sont pas légales, mais tolérées, RPG maker etant indisponible en France. On ne vous fera donc pas de misère, pour peu que vous ne vendiez pas un jeu qui marche un peu trop bien.


            
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